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Parkstone International
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« Lorsque vous prenez une fleur dans les mains et que vous la regardez attentivement, elle devient votre univers le temps d'un instant. Je veux offrir cet univers aux autres, à tous ceux qui n'ont pas le temps de regarder une fleur. Je veux que les gens la voient, qu'ils le veuillent ou non », disait Georgia O'Keeffe. Les fleurs sont au centre de la plupart des natures mortes de notre art pictural. La palette de couleurs, la diversité des formes et des textures qu'elles offrent en font surtout un sujet de représentation idéal, se prêtant à toutes les techniques artistiques. Les fleurs ont inspiré bien des peintres, de Rubens à Dalí, sans oublier Renoir ou encore Matisse. Au coeur des oeuvres, elles sont bien souvent devenues des chefs-d'oeuvre.
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With text by the great Bohemian poet Rainer Maria Rilke and a wealth of beautiful images, this book explores the creative power of one of history's greatest sculptors. Mega Square Rodin features the best-known masterpieces of this genius of bronze and marble, who immortalised his revolutionary approach to sculptural subjects and the human body in figures that seem ready to come to life. This gift-sized book about a popular, brilliant sculptor is sure to entice any reader.
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Incarnation du mythe de l'artiste maudit, Vincent Van Gogh (1853-1890) est une légende qui est devenue une référence de l'art contemporain. Expressionniste pendant le courant postimpressioniste, son art fut incompris tout au long de sa vie. En Hollande, il participe à la peinture réaliste en peignant des scènes de paysannerie. Anxieux et déprimé, Vincent van Gogh a réalisé plus de 2000 oeuvres mais n'en vendra qu'une seule tout au long de sa vie. Peintre autodidacte, sa peinture est reconnue pour sa beauté à la fois sensible et âpre et est aujourd'hui l'une des artistes les plus en vogue sur le marché de l'art.
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Vincent van Gogh (Groot-Zundert, Brabant, 1853 - Auvers-sur-Oise, 1890) La vie et l'oeuvre de Vincent van Gogh sont si étroitement liées qu'il est quasiment impossible de voir ses toiles sans y lire le récit de sa vie : van Gogh est en effet devenu l'incarnation du martyr souffrant et incompris de l'art moderne, l'emblème de l'artiste marginal. Le premier article, publié en 1890, donnait des détails sur la maladie de van Gogh. L'auteur de l'article voyait le peintre comme un «génie terrible et dément, souvent sublime, parfois grotesque, toujours à la limite du cas pathologique ». On sait très peu de choses sur l'enfance de Vincent. Á l'âge de 11 ans, il dut quitter le «nid humain », comme il le nommait lui-même, pour poursuivre sa scolarité dans divers internats. Le premier portrait nous montre van Gogh comme un jeune homme sérieux de dix-neuf ans. A cette époque, il avait déjà travaillé trois ans à La Haye et ensuite à Londres, dans la galerie Goupil & Co. En 1874, son amour pour Ursula Loyer s'acheva dans un désastre et un an plus tard, il fut transféré à Paris, contre son gré. A l'issue d'une discussion particulièrement violente au moment des fêtes de Noël 1881, son père, pasteur, ordonna à Vincent de partir. Avec cette ultime rupture, il abandonna son nom de famille, signant ses toiles d'un simple «Vincent ». Il se rendit à Paris et ne retourna jamais en Hollande. Á Paris il fit la connaissance de Paul Gauguin, dont il admirait énormément les peintures. L'autoportrait fut le principal sujet de Vincent de 1886 à 1888. En février 1888, Vincent quitta Paris pour Arles, et essaya de persuader Gauguin de le rejoindre. Les mois passés à attendre Gauguin furent les plus productifs de la vie de van Gogh. Il voulait montrer à son ami autant de toiles que possible et décorer la Maison jaune. Mais Gauguin ne partageait pas sa vision de l'art et rentra finalement à Paris.
Le 7 janvier 1889, quatorze jours après son automutilation, Vincent quitta l'hôpital. Ignorant sa propre folie, il espérait se rétablir et oublier, mais en réalité, il y retourna deux fois cette année là. Au cours de son ultime séjour à l'hôpital, Vincent peignit des paysages dans lesquels il recréait le monde de son enfance. On dit que Vincent van Gogh se tira une balle dans la tempe dans un champ, mais décida de rentrer à l'hôtel et de se coucher. Le propriétaire informa le Dr Gachet et son frère, Theo ; ce dernier décrivit les derniers instants de sa vie qui prit fin le 29 juillet 1890 : «Je voulais mourir. Mais j'étais assis à son chevet, lui promettant que nous allions le guérir. [...] », il répondit : «La tristesse durera toujours. »
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Célèbre aussi bien de son vivant qu'après sa mort, Rembrandt est un des plus grands maîtres de ce que l'on a appelé « l'âge d'or hollandais » au XVIIe siècle. Ses portraits ne constituent pas uniquement une plongée dans l'époque du peintre, ils représentent avant tout une aventure humaine ; sous chaque touche de peinture semble s'éveiller la personnalité du modèle. Ils ne sont aussi que la partie immergée de l'iceberg Rembrandt, qui a produit plus de 300 toiles, 350 gravures et 2000 dessins. Dans tout son oeuvre, l'influence du réalisme flamand est aussi puissante que celle du caravagisme italien. Ce savant mélange, il l'applique à tous ses tableaux, conférant aux sujets bibliques tout autant qu'aux thèmes quotidiens une puissance émotionnelle et intimiste sans pareil.
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Les bouleversements au cours du XXe siècle dans l'histoire mondiale vont provoquer une incroyable métamorphose de l'art occidental. Une création artistique foisonnante et révolutionnaire va se répandre dans un monde dorénavant sans frontières. Elle laisse libre cours à une extraordinaire prolifération des courants artistiques, du fauvisme au Pop Art.
Cet ouvrage présente des illustrations des exemples les plus marquants de cette période, accompagnées d'essais rédigés par des critiques et des historiens de l'art. En tant que fenêtre ouvrant sur la psychologie des grands artistes modernes, L'Art du XXe siècle est le livre indispensable à tout amateur d'art contemporain.
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Quel nom conviendrait mieux à cet art dont Émile Zola écrivait que «jamais auparavant des peintures ne lui avaient paru posséder une telle dignité. On peut presque entendre les voix intérieures de la terre et sentir les arbres bourgeonner». Plus qu'un art émotionnel, il s'agissait d'un art révolutionnaire qui rompait catégoriquement avec les règles rigides de l'art académique. Ainsi, les peintres purent se laisser enchanter par la lumière dansant sur les arbres, ou ses reflets dans l'eau. Expérimentée par Théodore Rousseau, la méthode allait être intensément développée par Monet, Renoir, Pissaro, Manet ou encore Berthe Morisot, chacun à sa propre manière.
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Entre courbes et contre-courbes, Mucha créa, à la fin du XIXe siècle, une égérie nouvelle qui devait hanter les rues de Paris. Au fil des représentations de Sarah Bernhard, cette muse voluptueuse devint un véritable emblème de l'Art nouveau et offrit à l'affichiste succès et renommée. Néanmoins, le talent de l'artiste ne se limita jamais à la lithographie. Nourri par cette passion d'exalter, au mieux, la sensualité du monde qui l'entourait, l'art de Mucha, s'exprima indifféremment tant sur les monumentaux panneaux décoratifs des salles à manger que sur les petites pièces délicates de porcelaine.
C'est toute la richesse et la variété de cet artiste fin-de-siècle que nous fait redécouvrir ici l'auteur.
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Du Moyen Âge à l'Époque contemporaine, l'art décoratif peut être défini par les matériaux, le design et les objets artistiques utilisés à la fois en architecture urbaine et en architecture d'intérieur. Comme beaucoup d'autres formes d'art, l'art décoratif continue à se développer, ajoutant à l'utilité de simples pièces comme des chaises une dimension esthétique pour s'orienter vers des objets purement ornementaux.
Les Art décoratifs, en valorisant tous les supports d'expression de l'art décoratif à travers les siècles, aspire à faire l'éloge de ces édifices et objets souvent sous-estimés. À l'origine non considérés comme des arts appliqués, leur potentiel artistique ne fut reconnu qu'au XXe siècle lorsque la production industrielle remplaça la création artisanale.
L'ancienneté, l'authenticité et surtout la singularité de ces précieux travaux sont aujourd'hui les nouveaux standards de qualité et de beauté de l'art décoratif.
Rejoignez-nous pour la découverte de l'évolution de l'art décoratif à travers cet aperçu des principaux chefs d'oeuvre à travers le temps.
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L'art de la guerre
Victoria Charles, Sun Zi
- Parkstone International
- Temporis
- 4 Juillet 2013
- 9781844848133
Au cours de l'histoire, nombreuses sont les guerres qui changèrent le paysage politique et culturel du monde. Source de bouleversements, de destructions et de violences, elles contribuèrent néanmoins à l'évolution de la création artistique. En effet, malgré les événements traumatisants qu'elles engendrent, les guerres inspirent les artistes depuis toujours. Ces derniers immortalisent ces moments dramatiques en des oeuvres qui sont autant de précieux témoignages pour toutes les générations. Ce livre offre au lecteur les illustrations des batailles les plus connues et autres scènes de guerre. Composé de textes d'écrivains célèbres, cet ouvrage s'accompagne, en outre, du texte de référence de Sun Tzu, stratège militaire légendaire de Chine. De l'antique Gaulois agonisant au Guernica de Picasso, ce livre propose un panorama captivant des oeuvres inspirées par les guerres qui façonnèrent l'humanité.
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Raphaël (1483-1520), le peintre et architecte italien de la Haute Renaissance, était un génie de son temps mais était également en avance sur son époque. Avec Michel-Ange et Léonard de Vinci, il forma la triade classique de cette période, et élabora un style riche d'harmonie et de géométrie. Étant l'un des grands maîtres de la Renaissance, et artiste de la royauté européenne et de la cour papale à Rome, son oeuvre comprend des thèmes théologiques et philosophiques variés, notamment des Madones, pour lesquelles il est particulièrement célèbre. Son environnement et son expérience stimulèrent sa propension à combiner les idéaux humanistes à ceux de la religion et le convinrent fermement que l'art est un médium nécessaire à la révélation de la beauté de la nature.
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Le pressionnisme ; 1970-1990 ; les chefs-d'oeuvre du graffiti sur toile, de Baquiat à Bando
Marc Restellini, Alain-dominique Gallizia
- Parkstone International
- 20 Juillet 2015
- 9781785250323
Tout le monde connaît le Street Art. Qui n'a jamais vu, sur un mur, sur un train, ces images colorées souvent considérées comme du vandalisme. Cet Art de la bombe que l'on appelle le Pressionnisme est l'une des révolutions artistiques majeures du XXe siècle et demande des années de pratique. Le mouvement, en provenance des États-Unis, se propagera en Europe notamment en France, à Paris et plus particulièrement à Saint-Germain-des Prés, avant de se développer au niveau mondial.
Catalogue officiel de l'exposition en cours à la Pinacothèque de Paris, cet ouvrage retrace les transitions esthétiques majeures du mouvement graffiti.
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Hieronymus Bosch (S´Hertogenbosch, 1450 - 1516) Né au milieu du XVe siècle, Jérôme Bosch fait l'expérience d'un monde pris dans les luttes religieuses, où les valeurs médiévales traditionnelles commencent à s'effondrer. Les travaux du peintre sont autant de visions de cette décrépitude morale de l'homme qui se détourne des enseignements du Christ. Autour de ces thèmes, Bosch compose des scènes d'où surgissent de nombreuses figures monstrueuses, difformes et effrayantes.
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Dalí, Salvador (Figueras, 1904 - Torre-Galatea, 1989) Peintre, artiste, créateur d´objets, écrivain et cinéaste, il est connu du public comme un des représentants majeur du surréalisme. Buñuel, Lorca, Picasso, Breton... : ces rencontres constituent autant d´étapes dans la carrière de Dalí. Réalisé avec Buñuel, le film Un chien andalou marque son entrée officielle dans le groupe des surréalistes parisiens où il rencontre Gala, la femme d´Éluard, qui deviendra sa compagne et son inspiratrice. Entre cet artiste éclectique et provocateur et les surréalistes parisiens, les relations se tendront progressivement à partir de 1934 jusqu´à la rupture avec Breton, cinq ans plus tard. Pourtant, l´art de Dalí relève bien de l´esthétique surréaliste dont il a conservé le goût pour le dépaysement, l´humour et l´imagination.
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Nombreux sont les grands écrivains comme Manzoni, Chateaubriand ou encore Rilke qui virent en Michel-Ange l'un des maîtres incontestés du renouveau de l'art occidental. Qualifié de génie, de surhomme, d'énergie créatrice, Michel-Ange incarne l'artiste de la Renaissance italienne, incomparable par l'oeuvre réalisé, si ce n'est à Léonard de Vinci. En témoignent des chefs-d'oeuvre tels que la Pietà, le Davidou encore la chapelle Sixtine .
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Pierre-Auguste Renoir (Limoges, 1841 - Cagnes-Sur-Mer, 1919) Pierre-Auguste Renoir naquit le 25 février 1841 à Limoges. En 1854, ses parents retirèrent l'enfant de l'école et le placèrent dans l'atelier des frères Lévy afin qu'il apprenne la peinture sur porcelaine. Son frère cadet, Edmond Renoir,racontait : «De ce qu'il usait des bouts de charbon sur les murs, on en conclut qu'il aurait du goût pour une profession artistique. Nos parents le placèrent donc chez un peintre en porcelaine. » Un des ouvriers de Lévy, Emile Laporte, pratiquait la peinture à l'huile pour son plaisir. Il proposa à Renoir d'utiliser ses toiles et ses couleurs. Et c'est récisément ainsi que naquit le premier tableau du futur impressionniste, qui fut montré très solennellement à Laporte dans la maison des Renoir. En 1862, Auguste Renoir réussit son examen d'entrée à l'École des Beaux-Arts. Il fréquente en même temps un atelier libre où enseigne le professeur Charles Gleyre. Le deuxième événement important de cette période de la vie de Renoir fut la rencontre, dans l'atelier Gleyre, de ceux qui devinrent ses meilleurs amis tout au long de sa vie et ses compagnons dans l'art. À un âge plus avancé, l'artiste déjà mûr eut la possibilité de voir des Rembrandt en Hollande, des Velàzquez, Goya et le Greco en Espagne, et des Raphaël en Italie. À l'époque où les amis se retrouvaient à la Closerie des Lilas, Renoir continuait de puiser son inspiration au Louvre : «Et pour moi, au moment de Gleyre, le Louvre c'était Delacroix. » La première exposition des impressionnistes devint, pour Renoir, le moment d'assertion de sa propre vision du peintre. Dans la vie de l'artiste, cette période fut marquée encore par un événement significatif : en 1873, il emménagea à Montmartre au numéro 35 de la rue Saint-Georges, où il vécut jusqu'en 1884. Il resta fidèle à Montmartre jusqu'à la fin de sa vie. Là, il trouva ses motifs de plein air, ses modèles et même sa famille. C'est justement dans les années 1870 que Renoir se fit des amis qui l'accompagnèrent jusqu'à la fin de ses jours. Le marchand Durand-Ruel devint l'un d'eux. Il commença à lui acheter des tableaux en 1872. L'été, comme toujours, Renoir peignait beaucoup, avec Monet, en plein air. Il venait à Argenteuil où Monet louait une maison pour sa famille. Avec eux travaillait parfois Edouard Manet. En 1877, à la troisième exposition des impressionnistes, Renoir présenta plus de vingt peintures. C'étaient des paysages exécutés à Paris, sur la Seine, en dehors de la ville et dans le jardin de Claude Monet ; des études de visages de femmes et des bouquets de fleurs ; les portraits de Sisley, de l'actrice Jeanne Samary, de l'écrivain Alphonse Daudet et de l'homme politique Spuller ; il y avait aussi La Balançoire et le Bal au Moulin de la Galette. Dans les années 1880, Renoir connut enfin le véritable succès. Il travaillait sur des commandes de riches financiers, de la propriétaire des Grands Magasins du Louvre, du sénateur Goujon. Ses peintures furent exposées à Londres, à Bruxelles, à la septième exposition internationale chez Georges Petit (1886).
Dans sa lettre adressée à Durand-Ruel, à New York, il écrit : «L'exposition de Petit est ouverte et elle a pas mal de succès, diton.
Car c'est difficile de savoir soi-même ce qui se passe. Je crois avoir fait un pas dans l'estime publique, petit pas. Mais c'est toujours ça ».
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Thème intemporel et on ne peut plus incontournable, l'amour ne cesse aujourd'hui encore de fasciner les artistes. Qu'il soit peintre, sculpteur ou architecte, l'artiste l'aborde, l'évoque, l'illustre, y puise son inspiration, comme tout un chacun s'y réfère chaque jour de sa vie. Jamais épuisé, toujours renouvelé, il porte les artistes vers les chefs-d'oeuvre de leur vie. De L´Amour sacré et l´Amour profane de Titien au Baiser de Brancusi, l'amour se transforme au fil des mouvements et des époques, mais reste, quelles que soient les couleurs qui l'éclairent, un langage universel défiant à la fois le temps et l'espace. C'est toute la force et la variété de ses formes que l'auteur nous invite ici à découvrir.